Jour 2 : la grâce de la foi

A travers deux témoignages, celui du Père Aimable et celui du Père Gérard, prêtre accompagnant les pèlerins français de Mantes Sud, nous avons découvert à quel point la foi est une grâce.

Le Père Aimable nous a parlé de Ste Thérèse de Lisieux, de sa vie et de sa ferveur. Les quatre « formations » par lesquelles elle est passée pour être qui elle était, nous les vivons aussi. (L’entourage que Dieu nous donne, ce qu’il met en nous de qualités et de compétences, l’éducation que l’on reçoit et les imprévus de la vie auxquels nous sommes confrontés.) Nous devons être à l’écoute, attentif à ce que nous pourrions faire pour Dieu. « C’est la confiance et rien que la confiance qui doit doit nous mener à l’Amour. »

Thérèse était une petite âme vers laquelle le Christ s’est penché. Nous sommes aussi de petites âmes et il se penche également sur nous. Lui ouvre-t-on la voie ?

Le Père Gérard nous a raconté la naissance de sa vocation. D’une famille nombreuse ouvrière et croyante, ce sont ses rencontres, les imprévus de la vie, qui l’ont mené à une foi fervente et joyeuse. Notamment celle de Jean-Pierre Dejonghe et de la famille Ruelle. Entrainé à leur suite à Banneux, il y découvrira la joie de servir et de prier et y entendra l’appel de Dieu qui lui dit « Je te veux comme prêtre ».

Brancardier pendant une dizaine d’années en tant que séminariste et jeune prêtre, il revient aujourd’hui au Triduum avec une de ses paroisses, Mantes Sud. Une quarantaine de chrétiens l’y ont suivi. Prions pour qu’ils reviennent.

 

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